29 mai 2008
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Les jours se suivent, et ne se ressemblent pas ... heureusement . Aujourd'hui, nous avons un temps de rêve . La pluie de ces derniers jours laisse une fraicheur divine, toute ensoleillée et la verdure et les fleurs semblent à leur affaire, dans ce contexte paradisiaque . pas d'activité programmée, sauf le kiné ce soir . On peut prendre ses aises ...
Hier, notaire, puis Gruissan, repas au Lamparo . Au retour je saisis à la télé un film poignant, réaliste,qui met en valeur un adolescent abandonné, qui tombe dans la misère et la mort, mais sans pathos grandiloquent, somme toute un film magnifique, marquant . L'existence prend une autre dimension, après une journée sans histoire .
Mais y a t-il des journées sans histoire ? Nous traînons un passé si plein, déjà, que rien ne peut laisser indifférent et tout suit une pente inéluctable, Il importe de ne pas céder à la mélancolie, et de soigner son corps pour qu'il n'occupe qu'une place raisonnable, laissant le champ libre à la méditation et la rêverie féconde qui rend la vie plus riche et plus supportable
Et j'allais oublier les visittes, les lettres écrites ou reçues, les lectures ( Régis Debré sur le dialogue des civilisations ) austère, pessimiste plutôt, mais qui laisse des traces, et ouvre le champ de la réflexion ;j'aime son style limpide et la place qu'il laisse au lecteur : au demeurant,texte court et ramassé, introduction à un colloque (de Séville, je crois )
Hier, notaire, puis Gruissan, repas au Lamparo . Au retour je saisis à la télé un film poignant, réaliste,qui met en valeur un adolescent abandonné, qui tombe dans la misère et la mort, mais sans pathos grandiloquent, somme toute un film magnifique, marquant . L'existence prend une autre dimension, après une journée sans histoire .
Mais y a t-il des journées sans histoire ? Nous traînons un passé si plein, déjà, que rien ne peut laisser indifférent et tout suit une pente inéluctable, Il importe de ne pas céder à la mélancolie, et de soigner son corps pour qu'il n'occupe qu'une place raisonnable, laissant le champ libre à la méditation et la rêverie féconde qui rend la vie plus riche et plus supportable
Et j'allais oublier les visittes, les lettres écrites ou reçues, les lectures ( Régis Debré sur le dialogue des civilisations ) austère, pessimiste plutôt, mais qui laisse des traces, et ouvre le champ de la réflexion ;j'aime son style limpide et la place qu'il laisse au lecteur : au demeurant,texte court et ramassé, introduction à un colloque (de Séville, je crois )